NON A LA POLITIQUE  In English


C'est assez! Nous en avons marre!

Où que nous nous tournons, nous entendons et apprenons combien les politiciens sont menteurs, voleurs et corrompus? l'exc?s.

Nous leur faisons confiance, nous votons pour eux, total, ils se foutent pas mal de nous et font? leur guise, s'enrichissant comme ils peuvent, usant de moyens d?tourn?s pour nous flouer, nous qui les avons mis là. C'est donc notre faute après tout.

Pas plus tard qu'hier, j'entendais une dame dire:

''Avec le pouvoir et notre argent, les politiciens nous?crasent''

Il faut commencer? penser? un autre mode de gouvernement.

Pauvre Lincoln, lui qui a dit ''par le peuple, pour le peuple et avec le peuple'', il doit se tourner dans sa tombe.

Car en effet, que devient le peuple, qui n'est nul autre que vous et moi?

La réponse est claire: il subit.
J'ai beau voir dans le monde entier et essayer de trouver un semblant d'honèteté, j'en ai de la difficulté.

Ces jours derniers, le Canada, les?tats Unis, Ha?ti, la France, l'Angleterre, la Russie, Isralë, l'Italie, sans compter les pays arabes et j'en passe, ont connu leurs bobos. Commandites, dictature, espionnage, malversations commerciales, terrorisme et tant d'autres sujets qui font la une des journaux.

Et chose curieuse, le monde semble ne même pas s'y int?resser. On est blas?. On s'en fout.ça ne nous touche pas de si près. Et d'ailleurs, que peut-on faire?

Et voilà notre raisonnement. Malheureux mais vrai.

Continuera-t-on? vivre ainsi?

Fort probablement, car rien à l'horizon ne semble nous indiquer le contraire.

Veut-on changer les choses?

Oui, dira le monde en une voix.
Alors, que fait-on?

Qui osera être celui qui apportera ce changement tant désiré de tous?

Personne ne làve la main et on reste dans notre train- train. Je crois que nous aimons le status-quo sans le savoir. Ce cher status-quo qui a co été la vie durant notre g?n?ration? des millions de Cambodgiens, de Huttus et Tutsis, de Bosniaques, de Tib?tains. Toutes ces guerres intestines vues? la t?là par les Occidentaux que nous sommes et qui sur le champs ne nous ont fait ni chaud no froid.

Jusques? quand, crierait Corneille, allons nous rester ainsi, amorphes, sans manifester? nos gouvernements combien tout cela n'est pas juste.

Lorsqu'on regarde les partis politiques dans le monde, nous

remarquons que deux partis m?nent le bal. Celui au pouvoir et l'autre? l'opposition. Et c'est? chacun son tour de gouverner, son tour de s'enrichir et engraisser ses amis.

Prenons un exemple simple: les?tats Unis d'Am?rique ou démocrates et R?publicains, tour? tour prennent place? la Maison Blanche. Il y a quelques années, un ind?pendant est venu brouiller les cartes. Certains l'aimaient, d'autres moins. Il faut croire que cette personne avait quelque chose de diff?rent? proposer. Mais il n'a pas gagn? tant les partis reconnus avaient le pouvoir.

Ce que je propose, c'est que partout, il devrait y avoir une troisième personne, un troisième parti pour offrir au public une alternative. Cet individu se doit d' être plus intelligent que les deux autres, par sa mani?re, son verbe, son programme. Sinon? quoi servira-t-ilà Si le peuple voit en effet en lui, quelqu'un digne de leur vote car il se rapproche de leurs id?es, de leurs convictions, si le peule voit en lui une extension de lui-même, quelqu'un qui parle? sa place, utilisant les mots qu'il faut quant il faut, alors, pourquoi ne pas lui donner une chance. Il ne peut être pire que les autres.

Le problàme est que les autres appartiennent? un parti existant depuis des centenaires, avec des lobby on ne peut plus forts, difficile? d?loger. Or, la est mon point de vue. Nous sommes coinc?s avec l'establishment, car l'autorité dans la soci été tient mordicus au maintient de l'ordre?tabli. Et ce rejeton qui veut se démarquer est là pour mettre du d?sordre dans l'ordre.

Je crois que je me devrais plutôt de trouver les mille et une fa?on de changer le systéme en place.

Par ou commencer?

Il n'y a qu'à écouter le peuple et lui demander ce qu'il d?sire avant tout au lieu de lui offrir ce qu'il ne veut pas. Exemple simple: Nous ne voulons pas d'un budget faramineux en d?fense. Cet argent serait mieux utilis? dans la Santé.

Car qui nous veut du mal?
Contre qui partons nous en guerre?
Nous sommes un pays neutre et calme.
Autre exemple:Les fortunes d?pens?es en recherches spatiales. Sont-elles si n?cessaires? Cela changera-t-il notre vie d'aujourd'hui? Je crains que non. Cet argent serait mieux utilis? dans l'Enseignement

Fin temporaire

 

 

 


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