Je crois sincèrement que nous sommes tous influencés par nos parents dès notre plus jeune âge. Par exemple, s'ils étaient égoïstes, nous le serons aussi, s'ils étaient gentils avec tout le monde, nous le serons avec tout le monde.
Lorsque nous sommes enfants, notre environnement est crucial : c'est lui qui fait de nous ce que nous deviendrons. Notre jeune cerveau se nourrit de ce qu'il voit et entend. Nous ne comprenons pas tout, même si nous ne cherchons qu'à nous sentir bien. Je doute que les émotions et les sentiments fassent partie du décor.
Toute notre vie sera influencée par l'environnement et l'éducation que nous recevons. Alors pourquoi ne pas considérer sérieusement ces atouts lorsque ce sera à notre tour d'élever nos enfants ?
Le mot empathie contient le mot "pathia", qui signifie ce que l'on ressent. Il est de notre devoir de nous souvenir de ce facteur important dans notre vie et dans celle des autres. Je me demande parfois comment je peux être heureux si mes semblables ne le sont pas ? Et voici un mot d'un auteur anonyme que je viens de découvrir : "Que l'empathie et la compassion gardent toujours votre cœur ouvert aux misères des autres.
Avant de conclure cet exercice, j'aimerais relever quelques mots assez intéressants : Ce n'est que par l'effacement de soi que l'on peut, par empathie, percevoir la réalité de l'autre. C'est de Jean Pierre Otte. Bouddha a eu un moment assez intelligent : Mettez-vous à la place des autres. Si vous y parvenez, vous ne pourrez plus faire de mal aux autres. Et enfin, d'Agnes Ledig : L'empathie consiste à tendre la main à la personne qui se trouve dans le trou, et non à sauter dans le vide pour l'aider à se relever.
En conclusion, je peux dire que l'empathie est plus durable et plus précieuse que l'amour romantique, et qu'elle est une composante vitale de notre humanité.
