LE BONHEUR, C’EST QUOI.?
Voilà plusieurs années que j'ai écrit un ÉLOGE AU BONHEUR et bien sûr j’en ai parlé de façon fort sympathique. Je crois que ça a plu à ceux et celles qui ont lu mon article.
Aujourd’hui, je veux aller plus loin et demander aux gens s’ils sont heureux et dans l’affirmative, pourquoi.
Je vais d’ailleurs me poser la question à moi-même et trouver les justifications propres et essentielles. Je crois avoir trouvé la raison à mon bonheur. La réponse est simple et logique. J’aime lire et j’aime surtout écrire. J’ai remarqué à tout coup que lorsque j’écris je suis heureux. Quel que soit l’article!
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Au fait, le bonheur, c’est quoi?
D’aucuns diront qu’il s’agit d’un événement heureux, d’un hasard favorable, d’une chance tout simplement. On dit aussi que porter bonheur, c’est favoriser, faire réussir. Parfois ce bonheur est inespéré. C’est donc un état de bien être, de félicité.
Et c’est ce que je vis en écrivant. J’aimerai dire en écrivant sans cesse, vu que c’est en ce moment que je me sens le plus heureux des hommes. Pourquoi m’en priver? Toutes les occasions sont bonnes et j’ose dire que parfois je les provoque. J’irai plus loin et demanderai si le bonheur n’est pas le fruit de la paix, peut-être que c’est la paix même.
Rendre quelqu’un heureux, n’est-ce pas ce que nous souhaitons avant tout?
Je n’ose pas soulever le proverbe : Le malheur des uns fait le bonheur des autres, car je ne veux guère mêler une mauvaise fortune ou un sort funeste. Laissons de côté une victime de la malchance et évitons toute situation douloureuse. Je préfère de loin mon sujet.
Moi qui essaie d’être un peu philosophe, je dirai que le but de la philosophie est le bonheur. Beaucoup d’entre nous croient que le bonheur se trouve au futur, moi, je préfère vivre heureux aujourd’hui. Moi qui aime le mot sagesse, je tiens à préciser que celle-ci se reconnaît au bonheur. Et j’ajoute que le bonheur a cet avantage d’être divisible. Si je partage un moment délicieux avec un groupe et que celui-ci en profite, je viens de le diviser.
Si la liberté est de faire ce que l’on aime, n’est-ce pas là le parfait bonheur? Pourquoi ne pas vivre notre vie en couleur? Walt Disney, lui, l’a fait. S’abandonner, voilà le mot magique! Je fais allusion à un renoncement pour mieux se livrer à une émotion, un sentiment. Détendre son corps et son esprit, ne pas être crispé.
Souvenons-nous de ce merveilleux proverbe Africain: Le bonheur ne s'acquiert pas, il ne réside pas dans les apparences, chacun de nous le construit à chaque instant de sa vie avec son cœur.
Si je puis dire, je me sens heureux malgré tout. A tel point que j’aimerai être l’écrivain du bonheur, et ainsi, donner ou du moins partager avec autrui la seule chose qui faut de moi un homme heureux.
Et voilà ce que j’ai gardé pour la conclusion. J’espère que ces mots des célèbres Friedrich Nietzsche en premier et Victor Hugo en second, aideront le lecteur et la lectrice apprécier ce qu’ils ont: « Que chacun ait la chance de trouver la conception de la vie qui lui permette de réaliser son bonheur maximum » et « Le vrai bonheur, c’est toi, ta voix, ton regard, tout ce qui te charme et t’enivre »
Lecteur, si tu as un commentaire, une idée, une suggestion, s'il te plait communique la moi à JacquesHadida14@gmail.com